Catherine CURIOL, Exil intermédiaire

Publié le par Lucretius

Deux femmes, dont j'ai oublié le nom et le pauvre destin, vivent une expérience de déphasage. Ce n'est pas qu'il arrive des choses vraiment bouleversantes (des histoires de couples...), c'est quelque chose de profond et intime, probablement très subtil. Les deux personnages sont dans mes souvenirs (pourtant récents) des fantômes indistincts qui pourraient se croiser à New-York. Je me suis senti exilé de ce livre : il était un territoire lointain, dont je n'avais rien à faire. Les phrases emberlificotées, qui procèdent d'une mauvaise digestion de Proust et de toute la psychanalyse, ne m'ont pas donné le désir d'aller bien loin dans ce récit passionnant. La lassitude a vaincu.
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A
La lassitude est-elle toujours vainqueur ?<br /> <br /> Bien à vous,<br /> Alexandre
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A
<br /> Bonjour Interlibros aka Lucretius,<br /> <br /> Alors, silence radio ? C'est dommage. J'attendais avec plein d'impatience une comparaison des traductions du 'de natura'. J'espère que tout va bien pour vous,<br /> Avec toute mon amitié,<br /> Alexandre<br /> <br /> <br />
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